Fiat 126

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psal24
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Depuis 1957, la Fiat 500 est la petite voiture idéale sur le marché italien motorisant les familles et s’imposant comme la possibilité de passer du 2 aux 4 roues pour un tarif attractif. Elle a une forme sympathique et accueille, malgré sa taille lilliputienne, 4 passagers dans un confort satisfaisant. Son moteur, un bicylindre refroidi par air, avec le temps est devenu relativement vaillant et s’avère fiable. Elle est simple d’entretien au point qu’on trouve des pièces détachées dans les épiceries en Italie afin de l’entretenir ou changer une pièce en cours de route. Il est même possible de commander sa 500 neuve avec un large toit ouvrant en toile qui la transforme quand arrivent les beaux jours.
Arrivé à la fin des années 60, il est temps de lancer l’étude de la remplaçante de la 500 alors que la dernière évolution de cette dernière (la 500 R) se prépare à envahir l’Europe. Il n’est pas question de révolutionner le concept pour autant même si le concept de véhicule basique a fortement évolué en Europe. De même les habitues de consommations ont connues des évolutions puisque la 500 a servie à motoriser les masses alors que sa remplaçante va plutôt servir de second véhicule dans le foyer.

Base identique mais modernisée :
Le succès de la Fiat 500 repose sur la simplicité (rusticité ?) de sa conception. Le moteur en porte à faux arrière refroidi par air permet de se passer de nombreuses pièces de transmission et d’économiser sur le système de refroidissement. Ce sera la base retenue dès 1968 pour sa remplaçante, la 126. Le moteur se contente donc d’être la dernière évolution prévue pour la sortie de la 500 R (pour rénovée) qui doit rejoindre les concessions au même moment où Fiat prévoit de sortir la 126 mais avec quelques chevaux de plus.
La Mini a redéfinie depuis le début des années 60 le concept de la voiture citadine : pratique, chic, élégante, moteur transversal, traction… Alors que les années 70 se profilent à l’horizon, la solution du moteur arrière commence à se faire de plus en plus rare car progressivement abandonnée au profit de la traction et du moteur transversal. Pourtant la 126 va conserver son système qui est devenu archaïque.

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La 126 utilise une base technique tellement proche de la 500 qu’elles partagent une grande partie des composants comme l’empattement ou encore les jantes en plus du moteur et de la boite à peine retouchée. De fait, elle est plus un restylage technique qu’un nouveau modèle pour certains voire même un simple dérivé.

Coté motorisation, le bicylindre de 594 cc a une puissance de 23 ch pour un couple de seulement 41 Nm alors que dans la 500 vendue jusque là, le moteur n’était qu’un 499 cc. La 500R profite de ce même moteur mais avec 18ch seulement afin de laisser la nouvelle venue sa faire sa place. La vitesse maxi est de 106 km/h et il ne faut pas moins de 36 s pour atteindre le 100 à partir de 0. La boite de vitesse est à 4 rapports tous synchronisés (sauf le premier rapport) ce qui est encore un progrès par rapport à la 500. La dynamo est remplacée par un alternateur et le circuit de freinage est à 2 circuits séparés avec des pneus majorés.
La 126 marque aussi un certain progrès par rapport à la 500 en matière de sécurité car elle est équipée d’une coque à déformation programmée et d’un réservoir de carburant placé sous la voiture (sous le siège arrière ou lieu d’être noyé dans le moteur).

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Au niveau du style, il a été imaginé en premier lieu de rajeunir largement la ligne de la 500 mais les résultats se sont révélés loin des attentes. La décision est donc prise de rechercher une ligne plus actuelle, sous entendu moins ronde. L’inspiration provient d’un concept présenté par Fiat en 1968 nommé Taxi Car.

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Afin de donner une certaine identité à la 126, le style général se rapproche de la Fiat 127, modèle juste au dessus dans la gamme et sorti en 1971.
La 126 reste microscopique dans le paysage automobile : 3,054m de long, 1,377 de large sur 1,343 de haut avec un empattement de 1,810m. Le poids est de seulement 580 kg.

L’usine retenue pour la production est celle de Cassino en Italie mais 2 autres usines devront aussi s’équiper afin de répondre à la demande en Italie (Termini Imerese et Desio).

28 ans de carrière :
La présentation de la 126 intervient au même moment qu’est lancé la Fiat 500 R au salon de Turin de 1972. La différence de style est flagrante entre les 2 modèles, la 126 étant plus dans le ton de son époque même si elle perd en charme. Un unique modèle est proposé à la vente. Cette 126 est nommé 126A dans la nomenclature Fiat.

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Il est possible de commander un toit ouvrant en toile en option.

Durant l’année 1972, une étude proche de la phase d’industrialisation d’Abarth 126 est en cours mais n’aboutira jamais, la première crise pétrolière n’étant pas propice au lancement d’un tel modèle.

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La 126 va rapidement partir à la conquête du monde (surtout de l’Europe) sous divers noms ou surnoms. En Albanie et au Kosovo, elle est connue sous le nom de Kikirez, en Slovénie Bolha (puce), en Hongrie kispolszki (petite polonaise), en Allemagne Bambino, à Cuba Polgi et Bototo au Chili. En Angleterre elle sera vendue comme Fiat DeVille ou Saloon.

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En juin 1973, une seconde usine voit le jour afin de produire la Fiat 126. C’est une grande nouveauté car elle ne se situe pas en Italie mais en Pologne. L’usine FSM (Fabrika Samochodów Malolitrazowych) va ainsi fournir une bonne partie des 126 vendues en Europe dans le futur.
Ell est produite et vendue localement à partir d’un assemblage de pièces provenant d’Italie (voiture en CKD). On la reconnait à son logo 126P à l’arrière et à son badge Polski Fiat à l’avant. Les différences sont minimes : le châssis est un peu plus haut afin d’affronter des routes moins lisses, les grilles d’aération sont différentes ainsi que les clignotants avant.
Elle va devenir une véritable icone dans ce pays. La 126 sera la première voiture à prix abordable sur le marché polonais alors qu’en 1971 on compte moins de 556 000 véhicules dans le pays.

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En Autriche, Steyr Puch propose une Fiat 126 à partir de 1973 avec un moteur revu et corrigé. Les caisses arrivent directement d’Italie (grâce à des accords passés avec Fiat) pour être équipées d’un bi cylindre basé sur le bloc d’origine mais d’une cylindrée de 643 cc pour 25 ch. Au niveau du style, rien ne permet de différencier la version autrichienne de la version Italienne si ce n’est le badge à l’avant. Elle est vendue localement afin de contourner les taxes sur les produits importées jusqu’en 1975 (date de leur suppression) à 2 069 exemplaires.

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Il faut attendre 1975 pour que la Fiat 500 R s’efface complètement dans tous les pays et laisser ainsi le libre champ à la 126 qui n’arrive pas toujours à se vendre aussi bien que la 500.

En Septembre 1975, une seconde usine en Pologne produit la Polski Fiat 126P à Tychy.

En 1976, au salon de Turin, Fiat présente un véhicule de loisirs sur base de Fiat 126 : la 126 Sauterelle propose une carrosserie en matériaux composites. Un Hard top est prévu en option. L’intérêt du public ayant été peu important, le modèle ne fut pas produit.

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A partir de Novembre 1976, apparait une version mieux équipée qui s’ajoute au catalogue (la version vendue jusque là se nommant base à présent). La 126 Personal reçoit d’origine un intérieur en skai noir (très souvent), des pare chocs en plastique à la place de l’inox avec des protections latérales, un dégivrage de la lunette arrière et un feu de recul. Le capot moteur ferme désormais à clé. Un emplacement pour l’autoradio a été aménagé. Le toit ouvrant en toile est toujours en option. Ses clignotants passent du blanc à l’orange, nouvelle norme européenne oblige.

Elle est aussi déclinée en une version pourvue d’une vraie banquette arrière plus large. Cette version est nommée Personal 4 avec un équipement revu à la hausse : des sièges inclinables en série, des vitres arrières entre ouvrantes, une boite à gants, une ambiance intérieure inédite avec du velours en option et de la moquette de série qui confère une petite touche de luxe alors inédite. Certains modèles reçoivent des appuis tête à l’avant.

La 126 perd une partie de son héritage de Fiat 500 avec un nouveau train arrière (qui intègre un entraxe de jantes en 4x98) et perd donc ses jantes de 500. Les tambours de freins sont agrandis et le train avant est modifié. La direction gagne une crémaillère plus précise et sécurisante.

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En Juillet 1977, le moteur passe de 594 à 652 cc. L’augmentation de cylindrée étant minime, la puissance progresse de seulement de 1 ch pour atteindre 24 ch. Un badge 650 vient s’apposer sur le capot moteur afin de différencier les 2 modèles qui cohabitent.
Le moteur d’origine de 600 cc est toujours disponible afin de proposer un modèle de base plus économique sans banquette arrière et ne peut recevoir l’option toit ouvrant en toile.

En 1978, le moteur 600 cc n’est plus produit, définitivement remplacé par le 650.

La nouvelle Fiat Panda ayant besoin de place afin de débuter sa production, à partir de Juillet 1979, la 126 n’est plus produite en Italie après 1 352 912 exemplaires (sauf si elle est équipée du toit en toile en option pendant encore 2 ans), tous les modèles provenant désormais de l’usine polonaise.

En Mars 1979 (mais dès Mai 1978 en Italie) sont lancées en France les séries spéciales Black et Silver basées sur la Personnal 4. Quelques filets sur la carrosserie agrémentent la ligne. La Silver a droit à du tissus coloré avec du simili et des pare chocs avec protections noirs. L’équipement est enrichi avec des vitres teintées, poignées de portes spécifiques, feux de recul intégrés.

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126 Silver

La Black reçoit un intérieur écossais beige avec du velours noir et des pare chocs avec protections latérales grises.
Initialement prévues à 8 000 exemplaires afin de liquidées les stocks italiens, elles vont s’écouler à plus de 50 000 unités.

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126 Black

Le succès de ces séries limitées est tel que Fiat décide de renouveler l’expérience dès janvier 1980 avec les Red et Brown.

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En 1981, la barre du million d’unités produites en Pologne est franchie. La crémaillère fait son apparition au niveau de la direction sur tous les modèles.

En 1982, la version Economic ou E de la 126 est commercialisée avec un équipement simplifié afin de réduire le prix de vente (remplace la version de base).

En Juillet 1983, une mini gamme selon les pays est mise en place avec les versions 650 E ou Economic, puis 650 EK ou Confort et enfin 650 ES ou Spécial. Seul le niveau d’équipement et de présentation permet de les différencier.

A partir de Décembre 1984, la gamme de la 126 passe au modèle unique (dit unifié) : la 126 FSM (mais aussi appelée FL en Europe de l’Est pour Face Lift). La finition Personal avec sa banquette simplifié à l’arrière n’est plus produite, tous les modèles ayant désormais 2 vraies places à l’arrière.
Le moteur ne change pas (toujours le 650) : sièges en tissu gris, pare choc en plastique plus épais, baguettes latérales et rétroviseurs plus gros, le tableau de bord est modernisé, les enjoliveurs sont différents. Les feux de recul et anti brouillard à l’arrière sont intégrés au pare choc.
Un badge FSM apparait sur la malle.

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Pour 1987, la 126 évolue en profondeur avec l’arrivée de la 126 Bis qui remplace la précédente version (sauf en Pologne ou la FSM continue d’être produite et vendue). Le moteur reste le bi cylindre mais il est désormais refroidi par eau et devient un 703 cc. La puissance passe à 25 ch (+1). Les jantes qui étaient en 12 pouces grossissent (13 pouces) et adoptent les mêmes enjoliveurs que le reste de la gamme Fiat. Le nouveau moteur, placé plus bas, permet de dégager un espace de rangement à l’arrière d’où l’apparition d’un hayon afin d’y accéder et d’une carrosserie arrière remaniée. C’est ce qui explique le nom de Bis accolé au 126, pour indiqué que le coffre a été doublé.
La 126 profite à plein de ces nouveaux changements : la maniabilité s’en trouve complètement revue et améliorée.

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En 1989, une série spéciale réservée au marché Australien nommée Niki est lancée au moment où la 126 est commercialisée pour la première fois sur ce contient (et jusqu’en 1992).

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La 126 Bis poursuit sa carrière en Europe jusqu’en 1991 où sa fabrication est stoppée. Sa remplaçante, la Fiat Cinquecento, n’arrivera qu’en 1993.
Alors que Fiat rachète la FSM (le 28 Mai 1992), la Pologne continue de produire pour son marché local la 126 dans sa version FSM à moteur 650 cc sans hayon.

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En 1993, l’usine polonaise franchit la barre des 3 millions de Fiat 126 produites.

Pour 1994, la 126 se mue en version EL. L’allumage change et l’injection fait son apparition. De même, quelques pièces de Fiat Cinquecento sont intégrées à la production.

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En 1997, une ultime modification de la 126 qui devient la 126 ELX ou Fiat Maluch en Pologne (qui veut dire petite, c’est le surnom de cette Fiat depuis ses débuts) en recevant un catalyseur. Les déflecteurs sur les portes disparaissent, les appuis têtes arrière peuvent être commandés.

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La 126 rend définitivement les armes en Septembre 2000 après plus de 3 320 000 exemplaires produits en Pologne. Une ultime série spéciale permet d’écouler les stocks ; la Happy End pour 1000 exemplaires en rouge ou jaune (500 de chaque).

Si on compte les modèles italiens, on arrive à 4 673 655 unités produites en 28 ans et on dépasse les les 6 million si on compte tous les pays où elle a été produites (Autriche, Yougoslavie, etc).

Les caractéristiques techniques :
600 : 1973 – 1977
594 cc de 23 ch
Couple de 41 Nm
0 à 100 en 36,0s
Vitesse maxi de 110 km/h

650 : 1977 – 1987
652 cc de 24 ch
Couple de 42 Nm
0 à 100 en 39,0s
Vitesse maxi de 106 km/h

700 : 1987 – 1992
704 cc de 28 ch
Couple de 47 Nm
0 à 100 en 33,0s
Vitesse maxi de 116 km/h

Les 126 Polonaises hors séries :
La 126 aurait pu connaitre une autre vie encore plus prolifique. Le bureau études en Pologne propose dès 1978 plusieurs variantes afin de relancer la carrière de la 126. Alors que la Panda est encore à l’étude, une version à traction est étudiée en Pologne. Le moteur passe donc de l’arrière à l’avant du véhicule.

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Il y aussi eu des prototypes de version restylées, de 4x4, de break ou d’utilitaire qui seront toutes refusées par Turin mais produits à petites échelles pour le marché local parfois.

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Seule la version cabriolet sera produite par Bosmal et commercialisée hors de Pologne (Allemagne et Pays Bas)sur la base de la 126 Bis à 500 exemplaires à partir de 1992 et jusque 1995.
Une première version du cabriolet nommée Pop est proposée sans arceau, avec des vitres latérales rapportées.

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Puis une seconde avec arceau mais en conservant de vraies vitres latérales.

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En 1983, les polonais de FSM présentent la Beskid 106. Il s’agit de l’interprétation du bureau d‘études local afin de remplacer la Fiat 126. Elle est équipée du même moteur que la 126 dans une version de 594 cc pour 28 ch. Son coefficient de pénétration dans l’air (cx) très faible (0,29 seulement) combiné à son petit moteur permet une consommation record de 3,9l. Avec sa carrosserie monocorps avant l’heure, elle aurait pu devancer la Renault Twingo dans la segment avec près de 10 ans d’avance.

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Seuls 7 exemplaires seront produits. Six ont servis aux essaies sur route et un aux crash tests. Les modèles survivants de nos jours sont miraculés car il avait été ordonné par le gouvernement polonais la destruction de ce prototypes en 1989.

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En 1987, une nouvelle interprétation de la Beskid est proposée. Cette fois ci, le moteur est celui de la 126 Bis refroidi par eau. Son style se rapproche énormément de ce que sera la Future Cinquecento. Cette fois ci le modèle passe à 3,50m contre 3,25 pour la précédente Beskid et se pare d’un intérieur presque futuriste.

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Fiat 126 Groupe 2 :
Produite en petite série par Polski Fiat , la version groupe 2 se caractérise par un arceau, des baquets avec harnais, un extincteur, un coupe circuit, des lames de ressorts arrière plus durs, des élargisseurs de passages de roues, des ressorts tarés plus durs, des roues plus larges, une préparation à 60 ch du moteur 650 avec une culasse modifiée, arbre à cames plus performant, un échappement en acier inoxydable, un embrayage de Fiat 127 et une boite avec des rapports longs (160 km/h) ou courts (135 kmh/).

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126 Wadera :
La Wadera est un kit car polonais reposant sur la base de la Fiat 126 dans sa dernière déclinaison. Les panneaux en fibre de verre remplacent la carrosserie dans son intégralité transformant la 126 en un pseudo SUV. Un maximum de pièces est récupéré de la 126 comme les feux avant ou l’intérieur alors que les feux arrières proviennent d’une ancienne Ford Fiesta.

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Les dérivés et petites séries :
Zastava 126 PGL :
La Fiat 126 a aussi été assemblée en Yougoslavie par la firme Zastava. Le modèle est nommé 126 PGL (ou surnommé peglica : fer à repasser en yougoslave). La production est assurée à partir de kits provenant de l’usine polonaise jusqu’en 1991 à Kragujevac. Elle est distribuée aussi ainsi en Hongrie et en Croatie. Elle ne diffère que sur quelques points de détails de la version d’origine.

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Figo 126 :
Le marché allemand reçoit une version spécifique. Elle est issue d’accords entre Fiat et Gogomobil, un constructeur allemand de petite voiture sur le déclin.
La Fiat 126 se mue en Figo 126. Elle est équipée d’un moteur bi cylindre de Gogomobil 250 cc pour 14 ch refroidi par air. Avec une vitesse maxi de seulement 75 km/h elle n’a été produite qu’en 1975, à Turin, avec une plaque constructeur spécifique pour environ 1800 unités. Elle pouvait être conduite avec un permis de conduire simplifié propre à l’Allemagne.

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Valjoly Junior :
En Italie, une version à 3 roues et carrosserie de Fiat 126 a vu le jour. La Valjoly Junior est équipée d’un moteur diesel et se conduit avec un permis spécial allégé.

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126 Jungla Savio :
Une petite officine de carrosserie, Savio, qui propose des Fiat 600 transformées en pseudo Jeep, tente d’adapter le châssis de la Fiat 126 à son concept. La carrosserie de la 600 Jungle est à peine retouchée afin de s’adapter aux dimensions de la 126 à partir de 1975.

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126 Moretti Minimaxi :
Autre interprétation de la Jeep sur base de Fiat 126, la Moretti Minimaxi est disponible de 1973 à 1980.

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126 Moretti Lusso :
Moretti propose aussi une version dès 1974 mieux équipée de la 126.

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126 GP :
Le préparateur italien Giannini propose sa version vitaminée de la 126 : le moteur est revu à 700 cc (version GPS) ou 800 cc (version GPA) selon les préparations. Le tableau de bord peut intégrer un compte tours.

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MCA 600 sport coupé :
Une firme anglaise produit un kit en fibre à poser sur une 126 faisant ressembler la Fiat 126 à la Fiat X 1/9 avec des feux avants pop up. Le kit est disponible de 1983 à 1989.

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Le kit sera repris plus tard pour être légèrement modifié au niveau de la capote au début des années 90.

Automirage 595 Pick-Wick :
Une petite firme de Bologne en Italie propose une version Buggy de la Fiat 126 en 1974. Elle a été importée en Allemagne par Steinwinter avec des feux avant ronds au lieu de carrés.

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Indestor Croisette :
Autre Buggy proposé en 1974 au salon de Genève mais jamais commercialisé.

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